La photographie réparatrice, c’est ce qui a guidé Ahmed Bouyerdene
pour sa série «Grands-parents», après la disparition de sa grand-mère durant la guerre d’Algérie. De 1991 à 1993, il a archivé une génération d’Algériens nés au début du siècle dernier, tous
vivants dans la vallée de la Saoura et dans le Touat. Ses portraits, même mal éclairés dans un lieu inadéquat, touchent au cœur.